IMAGES OLYMPIQUES
MÉDIATISATION ET SPECTACULARISATION
DES JEUX OLYMPIQUES

Michaël Attali est professeur à l’Université Rennes 2 et directeur du laboratoire VIPS² (Valeurs, Innovations, Politiques, Socialisations et Sports). Il est historien du sport et de l’éducation, spécialiste des cultures sportives, des innovations sociales, culturelles ainsi que sur les enjeux politiques. Ses recherches analyse notamment l’histoire du sport sous l’angle des héritages et les systèmes de contraintes reposant sur la pratique sportive. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages et articles. Il a en particulier dirigé L’héritage social d’un évènement sportif. Enjeux contemporains et analyses scientifiques (Presses Universitaires de Rennes, 2021) ; Sports et Médias. Du XIXe à nos jours (Atlantica, 2010) et a codirigé avec Jean Saint Martin le Dictionnaire culturel du sport (Armand Colin, 2010). Il a également coordonné une Anthologie des sports olympiques à paraître au début de l’année 2024.

Pascal Blanchard est historien, chercheur associé au CRHIM à l’UNIL, codirecteur du Groupe de recherche Achac et documentariste. Il est spécialiste de la question coloniale, de l’histoire des immigrations et des enjeux postcoloniaux.  Il a publié et codirigé une soixantaine d’ouvrage dont Histoire globale de la France coloniale (Philippe Rey, 2022), et l’ouvrage Zoos Humains. Au temps des exhibitions humaines avec Sandrine Lemaire, Nicolas Bancel, Gilles Boëtsch, Éric Deroo (La Découverte, 2004). En 2012, il a été le co-commissaire scientifique de l’exposition « Exhibitions. L’invention du sauvage » présentée au Musée du quai Branly en 2011/2012, et commissaire de l’exposition « Zoo humain. Au temps des exhibitions coloniales » à l’AfricaMuseum (Belgique) en 2021/2022. Il a aussi réalisé avec Éric Deroo le film « Zoos humains » en 2002, et a été l’auteur du film documentaire « Exhibitions » réalisé par Rachid Bouchareb en 2012, et du film pour Arte France « Sauvages, au cœur des zoos humains » en 2018.

Jean-François Diana est maître de conférences en sciences de l’information et de la communication à l’Université de Lorraine et responsable du master 2 journalisme et médias numériques. Il est membre du Centre de recherche sur les médiations. Ses recherches et publications portent sur l’analyse des images, des médias et des pratiques journalistiques. Il a notamment codirigé l’ouvrage Journalisme sportif. Méthodes d’analyse des productions médiatiques publié chez De Bœck Université et les revues : le n° 11 de Médiamorphoses « La médiation du sport : du voir au savoir » (INA, 2023), le n° 14 de la revue Genre en séries « Images de sport : le jeu du sport » (Presses universitaires de Bordeaux, 2020). Avec le journaliste Denis Robert il a publié l’ouvrage Dépossession. Travailler plus pour vivre moins (Massot Édition, 2022).

Yvann Gastaut est maître de conférences en histoire contemporaine à l’université Côte d’Azur. Spécialiste en histoire de l’immigration, des colonies et des mentalités, il traite notamment des rapports de l’immigration avec le sport. Membre du laboratoire URMIS (Unité de Recherches Migrations et Société) au sein de la MSHS de Nice et l’Université de Paris 7, il est également commissaire d’exposition, et membre du Conseil d’Orientation du Palais de la Porte Dorée. Parmi ses travaux sur le sujet, on trouve : L’opinion française et l’immigration sous la Ve République (Paris, Seuil, 2000) ; Nice cosmopolite (Paris, Autrement, 2010) ; La France arabo-orientale (La Découverte, 2013) ; Atlas de l’histoire de l’immigration en France, (Autrement, 2021).

Sandrine Lemaire est agrégée, docteure en histoire de l’Institut universitaire européen de Florence, enseignante en classes préparatoires aux grandes écoles au lycée Jean-Jaurès de Reims et co-directrice du Groupe de recherche Achac. Elle est co-auteur de plusieurs ouvrages dont Zoos humains. Au temps des exhibitions humaines, La Découverte, 2004 (avec Nicolas Bancel, Pascal Blanchard, Gilles Böetsch et Éric Deroo) ; La Fracture coloniale, La Découverte, 2005 (avec Pascal Blanchard et Nicolas Bancel) ; L’Illusion coloniale, Tallandier, 2006 (avec Éric Deroo) ; Décolonisations françaises. La chute d’un empire, La Martinière, 2019 (avec Nicolas Bancel et Patrick Blanchard) et Colonisation & Propagande. Le pouvoir de l’image, Le Cherche midi, 2022 (avec Pascal Blanchard, Nicolas Bancel, Alain Mabanckou, Dominic Thomas).

Anne Roger est membre de l’UR 7428 du Laboratoire sur les Vulnérabilités et l’Innovation dans le Sport (L-ViS) à l’université de Lyon 1. Ses travaux prennent ancrage dans les champs de l’histoire culturelle et institutionnelle avec un axe principal sur l’entraînement sportif et les conditions sociales, culturelles et politiques de production de la performance sportive. Ils se prolongent par un axe épistémologique concernant la genèse des savoirs circulant entre le monde de l’entraînement sportif et le monde scolaire et par des travaux sur la formation des enseignants d’EPS. Anne Roger est notamment co-autrice avec Thierry Terret de l’ouvrage European Athletics. Une histoire continentale de l’athlétisme (1912-2010) paru en 2010 et des articles « L’athlétisme, sport éducatif pour toutes et tous ? »  dans l’ouvrage coordonné par Mickaël Attali Les éducations par le sport (Canopé, 2016) et « La notion d’entraînement en éducation physique et sportive des années 1960 aux années  1990. D’un entraînement sportif à un entraînement scolaire. » pour STAPS. Revue internationale des sciences du sport et de l’éducation physique (2015). Elle a aussi co-écrit avec Cécile Ottogalli l’article « Le sport au crible du genre » dans l’ouvrage Toutes à y gagner, vingt ans de féminisme intersyndical (Syllepse, 2017)».

Nicolas Bancel est historien, professeur ordinaire à l’Université de Lausanne (UNIL), chercheur au Centre d’histoire internationale et d’études politiques de la mondialisation, directeur de l’Institut des sciences du sport de l’Université de Lausanne et co-directeur du Groupe de recherche Achac. Il est spécialiste d’histoire coloniale et postcoloniale et d’histoire du corps. Il a publié ou co-publié une soixantaine d’ouvrages, dont Une histoire mondiale de l’olympisme (1896-2024) (Atlante-Atlantique, 2024) ; Décolonisations ? Élites, jeunesses et pouvoirs en Afrique occidentale française (1945-1960) (Publications de la Sorbonne, 2022) ; Le Postcolonialisme, (Presses universitaires de France, 2022); Sports in Postcolonial Worlds (Routledge, 2017). Il a également été co-commissaire de plusieurs expositions sur l’histoire du sport présentées au Musée olympique (Lausanne) et est directeur scientifique depuis 2019 du programme « Histoire, Sport & Citoyenneté » autour de l’histoire des Jeux Olympiques.

Claire Blandin est historienne et Professeure des Universités en Sciences de l’Information et de la Communication à l’Université Sorbonne Paris Nord. Elle travaille sur l’histoire des médias, et des représentations des femmes dans les médias. Elle est notamment l’autrice de Hélène Lazareff, le destin de la fondatrice de ELLE (Fayard, 2023), et du Manuel d’analyse de la presse magazine (Armand Colin, 2018).

Sylvain Dufraisse est agrégé et docteur en histoire contemporaine de l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne. Il est actuellement maître de conférences à Nantes Université où il enseigne l’histoire du sport et des pratiques physiques. Il a travaillé dans le cadre de son doctorat sur l’histoire sociale, culturelle et politique de l’élite sportive soviétique des années 1930 aux Jeux Olympiques de Moscou en 1980. Spécialiste d’histoire sociale et culturelle de l’Union soviétique, il poursuit ses recherches dans trois directions : l’internationalisation du sport soviétique, le développement du champ des sciences du sport et l’histoire des pratiques de loisirs en URSS. Il est l’auteur de l’ouvrage Les héros du sport, une histoire des champions soviétiques (années 1930-années 1980), (Ceyzerieu, Champvallon, 2019) et d’Une histoire sportive de la Guerre froide (Nouveau Monde éditions, 2023).

Sébastien Gokalp est conservateur en chef du patrimoine, agrégé d’histoire et dirige le Musée national de l’histoire de l’immigration depuis 2019. Il est le commissaire général du nouveau parcours permanent, et co-commissaire de l’exposition « Olympisme, une histoire du monde en mouvement ». Il a été conservateur au Musée d’art moderne de Paris de 2008 à 2016, et conservateur en chef à la fondation Louis Vuitton de 2017 à 2019. Il écrit régulièrement sur des artistes contemporains.

Stéphane Mourlane est maître de conférences en histoire contemporaine à Aix-Marseille Université. Il est chercheur au sein de l’UMR 7303 Telemme à la Maison méditerranéenne des sciences de l’homme (MMSH). Ses recherches portent notamment sur l’histoire des migration et l’histoire du sport. Il est membre du Conseil d’orientation du Musée national de l’histoire de l’immigration. Stéphane Mourlane est co-commissaire des expositions « Histoire, sport & citoyenneté » (Casden/ACHAC 2022-2024) et « Olympisme : une autre histoire du monde » (Palais de la Porte Dorée, Paris 2024). Il coordonne avec Yvan Gastaut le programme « Territoires et patrimoines du sport » (MSH Nice/MMSH). Il est notamment l’auteur de L’Atlas de l’Italie contemporaine (Autrement, 2019, avec Aurélien Delpirou) ; Histoire politique des Coupes du monde de football (Vuibert, 2006, avec Paul Dietschy et Yvan Gastaut) ; il a co-dirigé Une histoire mondiale de l’olympisme, 1896-2024, (Atlande-Atlantique, 2023).

Dominic Thomas est professeur dans le Département de langues européennes et d’études transculturelles à UCLA et membre associé du Centre d’histoire international et d’études politiques de la mondialisation (Lausanne, Suisse). Commentateur politique spécialisé dans les événements européens sur CNN, il a publié ou codirigé plusieurs ouvrages, notamment  Noirs d’encre (La Découverte, 2013) ; L’Invention de la race (La Découverte, 2014) ; Sexe, race & colonies (La Découverte, 2018) ; Visualizing Empire: Africa, Europe and the Politics of Representation (Getty, 2021) ; Colonisation & propagande. Le pouvoir de l’image (Le Cherche Midi, 2022) et Histoire globale de la France coloniale (Philippe Rey, 2022).

Natalia Bazoge est maîtresse de conférences en sciences et techniques des activités physiques et sportives à l’Université Grenoble Alpes au sein du laboratoire SENS (Sport et environnement social). Son domaine de recherche recouvre l’histoire du sport et de l’EPS. Avec Michaël Attali, Natalia Bazoge rédige l’article « Accessing sport through education. Policy frameworks for girls’ practice of sport in France from 1945 to today » (International Journal of Sport Policy and Politics, vol. 13, 2020).

Julien Camy est journaliste et cinéaste. Il partage sa vie entre l’écriture, le cinéma et les festivals. Rédacteur en chef de l’hebdomadaire Le Patriote Côte d’Azur pendant 8 ans, il collabore aujourd’hui à différents journaux et revues (L’Humanité, La Strada, Carto, Jeune Cinéma), coordonne la collection de livres de cinéma de l’Institut Lumière/Actes Sud et fait partie de l’association Écrire le sport. Il est l’auteur de Côte d’Azur, terre de cyclisme avec André Baudin (Éditions Gilletta, 2020), de Sport & Cinéma (Amphora, 2021) et du Football à l’écran (Hugo Images, 2021) avec Gérard Camy. Il a réalisé plusieurs documentaires : « La Boulangerie du coin » (2012), « L’Art et la manière culturelle à l’école » (2014) et « Le Roi mélancolique, la légende de René Vietto » (2020). Julien Camy travaille également dans l’organisation de nombreux festivals de cinéma : le Festival Cinéma d’Alès – Itinérances, CANNESERIES, le Festival de Cannes…

Yohann Fortune est maître de conférences en histoire du sport à l’Université de Rennes 2 et membre du laboratoire VIPS². Ses travaux s’inscrivent dans le champ de l’histoire culturelle et portent sur les mécanismes ayant conduit à structurer le sport comme objet social et culturel. Dans ce cadre, une attention particulière est portée sur l’histoire de la course à pied, les processus de scolarisation des pratiques sportives, l’héroïsation et l’héritage. Il a publié notamment « Emil Zatopek dans la guerre froide : de la soumission à la rébellion (1948-1968) » (Sciences Sociales et Sport, 2012) et « Emil Zatopek in the pantheon of long-distance running: the creation of a sporting myth » (Sport in History, 2021).

Doriane Gomet est Maître de Conférences à l’IFEPSA et rattachée au laboratoire VIPS² de l’université de Rennes 2. Ses principaux travaux traitent des relations entre violences, vulnérabilités, politique et sports et portent à la fois  sur l’histoire des pratiques corporelles autour de la Seconde Guerre mondiale et sur l’histoire des sports de raquette. Rédactrice en cheffe de la revue Sciences sociales et sport, elle a dirigé plusieurs ouvrages dont Histoire(s) de la performance du sportif de haut-niveau (2010), Animer, entraîner, éduquer. Le sport et ses métiers (2019) et Histoire(s) de balles et de plumes (2020).

Lionel Pabion est historien, maître de conférences à l’Université Rennes 2 et chercheur pour le laboratoire VIPS² (Valeurs, Innovations, Politiques, Socialisation et Sports). Agrégé et docteur en histoire, sa thèse analyse les sociétés de préparation militaire en France lors de la Troisième République (intitulée Le sport embrigadé ? Les sociétés de préparation militaire en France, des loisirs militarisés (années 1880 – années 1930)) et paraîtra aux Presses Universitaires de Rennes. Ses recherches se focalisent principalement sur l’histoire culturelle et sociale des activités physiques et sportives ainsi que sur l’histoire politique et culturelle de la Troisième République. Il a récemment publié « Turning Gymnasts into Citizen-Soldiers: The Militarization of Physical Activities during the Third Republic in France (1870–1940) » (The International Journal of the History of Sport, 2023).

Mathys Viersac est doctorant à l’Université Rennes 2. Ses travaux de thèse sur l’héritage des événements sportifs et plus particulièrement celui des Jeux olympiques lui ont permis d’obtenir une bourse du Centre d’études olympiques (CEO). Il conduit ses recherches au sein du laboratoire VIPS² (Valeurs, Innovations, Politiques, Socialisations et Sports) afin de comprendre les déterminants et analyser les formes que peut prendre l’héritage. Il a publié en 2022 une revue de littérature sur l’analyse de l’héritage des évènements (Revue STAPS, n°134).

Julien Beaufils est, depuis septembre 2022, maître de conférences auprès du département des LÉA de l’Université Rennes 2. Ses recherches portent sur les liens entre sport, politique et identité en RDA et dans les nouveaux Länder allemands. Il a soutenu en 2019 une thèse de doctorat intitulée « Le quotidien d’une école rouge. La politisation protéiforme du sport en République Démocratique Allemande à l’exemple de la Deutsche Hochschule für Körperkultur de Leipzig (1969-1990) ».

Yann Descamps est docteur en civilisation américaine, maître de conférences en histoire du sport et membre du laboratoire C3S (Culture, Sports, Santé, Société). Ses champs de recherche mêlent sémiologie, études médiatiques et histoire culturelle. Il s’intéresse particulièrement aux questions de représentation du genre et de l’identité ethno-raciale en lien avec le sport dans les médias et la culture populaire, notamment en France et aux États-Unis, comme l’indique sa thèse Am I Black Enough for You? Basket-ball, médias et culture afro-américaine aux États-Unis, 1950-2015 (2015). Il a récemment publié l’article « The Rise of Cool Japan: The Representation of Japanese and American Athletes in Kuroko no Basuke : Extra Game » (International Journal of the History of Sport, 2023) ainsi que l’article « Global Sign, Shared Meaning? Kobe Bryant’s Life and Its Representation from the USA to France » (Journal of African American Studies, 2021).

Isabelle Gaillard est maîtresse de conférences habilitée à diriger les recherches en histoire contemporaine à l’Université Grenoble-Alpes et membre du LARHRA (Laboratoire de recherche historique Rhône-Alpes). Après avoir étudié le marché des téléviseurs, ses recherches se sont orientées vers l’histoire des médias, l’histoire économique de la consommation et du sport. Elle a notamment publié en 2012 La télévision. Histoire d’un objet de consommation, 1945-1985 (Paris, CTHS/INA).

Sébastien Laffage-Cosnier est docteur en sciences du sport, maître de conférences et membre du laboratoire C3S (Culture, Sports, Santé, Société). Ses thématiques de recherche explorent les liens entre les pratiques corporelles et leurs représentations artistiques et analysent les cultures populaires et enfantines pour comprendre comment la jeunesse est sensibilisée au sport. Il a aussi étudié les mécanismes permettant la mise en place et la diffusion d’innovations à la croisée de l’environnement naturel, de la préservation de la santé et de la pratique physique. Il est directeur-adjoint du Laboratoire C3S et membre du comité de rédaction de la revue Sciences Sociales et Sport. Il a notamment publié « Le Dr Max Fourestier ou le chant du cygne de l’ère médicale en éducation physique scolaire » (STAPS, 2021) ainsi qu’en collaboration « Forever Young! Tintin’s Adventures as an Example of Physical Activity and Sport » (Sustainability, 2012).

Max Raulin est doctorant à l’Université Rennes 2. Il travaille sur l’histoire des relations entre le sport et la télévision entre 1949 et 1974 en focalisant son intérêt sur les grands évènements. Il a publié plusieurs recherches dont un article en 2021 dans Le Temps des Médias intitulé « La représentation du masculin par la mise en scène télévisée du sport dans les années 1950 ».

Christian Vivier est professeur des universités et directeur du laboratoires C3S (Culture, Sports, Santé, Société). Ses travaux se déploient sur plusieurs axes : les recherches méthodologiques et épistémologiques sur l’histoire du sport et de l’éducation physique, l’éducation physique et sportive comme discipline d’enseignement et l’analyse historique des pratiques d’exercices physiques à partir de l’iconographie sportive. Il s’intéresse aussi à l’émergence et au développement de pratiques corporelles régionales. Il a publié de nombreux ouvrages ou travaux, dont, avec Sébastien Laffage-Cosnier, le numéro 16 de la revue Sciences Sociales et Sport, Jouets et sports : entre culture ludique, imaginaire et socialisation (L’Harmattan, 2020) et, récemment, un article intitulé « L’immersion dans l’univers des circuits automobiles avec Michel Vaillant » (Territoires contemporains, 2022).